Poésie triste
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Poésie triste
Âmes tourmenté
Il y a tant de malheur larvé au cœur des pierres
Ou se cache parfois l’être de nos manières
Sans savoir qu’il est là chacun a sa prière
De crier sur les toits sa foi sa mue altière
De l’âme la plus froide au lierre d’une vie
Chevalier d’un autre âge ou crane indéfini
Flamme forge sa lame au creusé de nos lit
Dans le rêve de larmes en corps qui nous uni
Le songe a sa raison de ne pas être un charme
Mais il n’en est pas moins le repos de son arme
Qu’un esprit décisif a rompu de ces rames
Avant que de mourir de chagrin ou de parme
Dans ce jardin de cendre des souvenirs perdu
Les sœurs de la bataille ont le ventre tendu
Au-dessus du carnage de la mort en tenu
Nombreux se font ripaille de l’amour retenu
Croyant que sur la paille le dormeur répondra
À la place de l’homme en marge de son choix
Alors que de son ombre une nuit sortira
Eau pâle en ce sang qui le recouvrira
Il y a tant de malheur larvé au cœur des pierres
Ou se cache parfois l’être de nos manières
Sans savoir qu’il est là chacun a sa prière
De crier sur les toits sa foi sa mue altière
De l’âme la plus froide au lierre d’une vie
Chevalier d’un autre âge ou crane indéfini
Flamme forge sa lame au creusé de nos lit
Dans le rêve de larmes en corps qui nous uni
Le songe a sa raison de ne pas être un charme
Mais il n’en est pas moins le repos de son arme
Qu’un esprit décisif a rompu de ces rames
Avant que de mourir de chagrin ou de parme
Dans ce jardin de cendre des souvenirs perdu
Les sœurs de la bataille ont le ventre tendu
Au-dessus du carnage de la mort en tenu
Nombreux se font ripaille de l’amour retenu
Croyant que sur la paille le dormeur répondra
À la place de l’homme en marge de son choix
Alors que de son ombre une nuit sortira
Eau pâle en ce sang qui le recouvrira
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